Abstract
L'opérationnalisation des tendances «extrémistes» a été réalisée en tenant compte de la possible appartenance à des groupes politiques «extrémistes» avant l'incorporation à l'école de recrues et de l'une des questions portant sur le racisme. Il est clair que cette opérationnalisation reste quelque peu incomplète, dans le sens où les attitudes sont évaluées exclusivement de façon unidimensionnelle. Une enquête sociologique complète à ce sujet devrait définir les contours d'une attitude générale à l'aide de plusieurs questions clefs portant sur différentes opinions. Suite à la demande qui nous a été faite de rédiger un rapport à partir de nos chiffres, nous avons décidé, tout en ayant conscience des lacunes de nos résultats, de tout de même les publier, en tenant compte toutefois du fait que le grand nombre de sujets questionnés donnerait des résultats intéressants concernant les prévalences de ces tendances parmi les jeunes hommes suisses.