Abstract
Le présent article étudie la section ‘Laërce’ des Ditz des sages hommes de Guillaume Tardif. Après avoir montré que les anecdotes laërtiens sont tirés de la version latine d’Ambrogio Traversari de Diogène Laërce, l’article étudie la tradition imprimée de ce dernier texte, pour essayer de déterminer quelques caractéristiques de la source utilisée par Tardif.