Abstract
Le recours à la méthode stemmatique est exceptionnel dans le cadre de la réflexion sur les romans en prose. Une des raisons bien connues est que la prose multiplie les variantes indifférentes qui risquent de fausser les classements. Une voie qui pourrait rendre opératoire le classement des manuscrits est de se concentrer sur les pièces en vers insérées dans le roman. Cet article s’y essaie et montre qu’il y a des chances qu’une telle approche améliore et dynamise le stemma de Renée Curtis.