Abstract
La Cité des Dames de Christine de Pizan et Le livre du Chevalier de la Tour Landry, pour différents qu’ils soient, visent tous les deux à proposer une forme de modèle à l’attention des femmes et recourent dans ce but à des biographies féminines : le Miroir des Bonnes Femmes, et le De mulieribus claris de Boccace. L’étude des sources montre comment la sélection, l’organisation et la réécriture de la matière contribuent toutes les trois à former le nouveau message pédagogique.