Abstract
Cet article étudie le rapport que le recueil des Fleurs de Poesie Françoyse, publié à Paris en 1534 par Galliot du Pré, instaure avec la tradition manuscrite des poètes de la cour de François Ier. Plusieurs pièces célèbres sont collationnées dans le but de comprendre à partir de quels manuscrits a été construit le recueil imprimé. L’étude de la tradition manuscrite permet de reconsidérer le rôle joué par Victor Brodeau, « éditeur » du recueil.